Date published: 2025-9-20

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Inhibiteurs Olfr851

Les inhibiteurs courants de l'Olfr851 comprennent, entre autres, l'isoflurane CAS 26675-46-7, le propranolol CAS 525-66-6, le zinc CAS 7440-66-6, la nifédipine CAS 21829-25-4 et la caféine CAS 58-08-2.

Olfr851, un récepteur olfactif présent chez Mus musculus (souris domestique), joue un rôle essentiel dans la perception sensorielle des odeurs. En tant que membre de la famille des récepteurs olfactifs, Olfr851 fait partie d'un vaste groupe de récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) caractérisés par une structure à sept domaines transmembranaires. Ces récepteurs sont essentiels à la détection et à la transduction des signaux odorants, déclenchant des réponses neuronales qui conduisent à la perception de différentes odeurs. La famille de gènes des récepteurs olfactifs représente la plus grande famille de gènes dans le génome de la souris, et sa nomenclature est unique à cet organisme. L'inhibition d'Olfr851 peut être obtenue par divers mécanismes impliquant des produits chimiques qui ciblent des voies ou des processus spécifiques associés à l'olfaction. Alors que certains produits chimiques peuvent interagir directement avec Olfr851, d'autres exercent leurs effets indirectement en modulant les composants de la voie de transduction du signal olfactif. Par exemple, des composés comme l'isoflurane et la lidocaïne peuvent influencer indirectement Olfr851 en modifiant l'excitabilité neuronale au sein du système olfactif, ce qui a un impact sur la détection et la perception des substances odorantes. Le propanolol, un bêta-bloquant, peut indirectement inhiber Olfr851 en réduisant l'activité du système nerveux sympathique, ce qui affecte la transduction du signal olfactif.

Des produits chimiques comme le sulfate de zinc et la nifédipine peuvent potentiellement influencer Olfr851 en modulant les processus dépendant du zinc et du calcium, respectivement, au sein du système olfactif. Ces altérations de l'équilibre ionique et des voies de signalisation peuvent perturber le fonctionnement normal d'Olfr851 et d'autres récepteurs olfactifs, entraînant des modifications de l'olfaction. D'autres composés comme la caféine et l'atropine peuvent affecter indirectement Olfr851 en modulant l'équilibre des neurotransmetteurs et la signalisation cholinergique, ce qui a un impact sur le système olfactif et la fonction des récepteurs. En outre, des composés tels que l'iodoacétamide, l'alpha-bungarotoxine, la tétrodotoxine, le diphénylborinate de 2-aminoéthyle et l'amiloride offrent des stratégies potentielles d'inhibition de l'Olfr851 en ciblant des mécanismes moléculaires spécifiques au sein du système olfactif. L'ensemble de ces inhibiteurs permet de mieux comprendre l'interaction complexe des processus moléculaires et cellulaires impliqués dans l'olfaction. En conclusion, Olfr851 joue un rôle clé dans la perception sensorielle des odeurs et son inhibition peut être obtenue par divers mécanismes chimiques. Ces inhibiteurs offrent des outils précieux pour l'étude de la fonction d'Olfr851 et de la famille des récepteurs olfactifs au sens large, et permettent de mieux comprendre les processus complexes qui sous-tendent le sens de l'odorat chez la souris domestique.

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