Olfr690, codé par le gène Or52b1, est un récepteur olfactif chez Mus musculus et un membre de la superfamille des récepteurs couplés aux protéines G (GPCR). Ces récepteurs sont essentiels à l'odorat, car ils détectent les molécules odorantes dans l'épithélium nasal et déclenchent les réponses neuronales qui conduisent à la perception olfactive. Les récepteurs olfactifs comme Olfr690 partagent une structure à 7 domaines transmembranaires, commune à de nombreux récepteurs de neurotransmetteurs et d'hormones. Ils sont responsables de la reconnaissance et de la transduction des signaux olfactifs par les protéines G. L'activation de ces récepteurs par les récepteurs olfactifs se fait par l'intermédiaire des protéines G. L'activation de ces récepteurs par des odorants spécifiques déclenche divers événements intracellulaires, impliquant souvent la modulation de seconds messagers tels que l'AMP cyclique (AMPc).
Étant donné la complexité des voies de signalisation des RCPG et l'absence d'inhibiteurs directs bien caractérisés, l'accent est mis sur les inhibiteurs indirects potentiels qui modulent les voies de signalisation ou les processus cellulaires connexes. Les antagonistes des récepteurs bêta-adrénergiques, tels que le propranolol, l'aténolol et le métoprolol, réduisent les niveaux d'AMPc cellulaire, un composant essentiel de la signalisation des RCPG. Cette réduction de l'AMPc peut indirectement affecter les voies de signalisation des RCPG, et potentiellement altérer la fonction des récepteurs olfactifs tels que Olfr690. Les bloqueurs de canaux calciques, tels que la nifédipine et le vérapamil, modifient les niveaux de calcium intracellulaire, un autre facteur clé de la signalisation des RCPG. Ces changements dans la dynamique du calcium peuvent indirectement influencer la fonction des RCPG, y compris les récepteurs olfactifs.
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